Pourquoi et comment adhérer ?

Association, entreprise, mutuelle ou futur entrepreneur qui partagez nos valeurs, nous espérons vous « compter » un jour parmi nous !

Le Sol-violette est une monnaie citoyenne destinée à promouvoir les échanges éthiques sur la région toulousaine. Sorte de « label » de l’économie sociale et solidaire, le réseau est identifié par les consommateurs-trice-s responsables et favorise la coopération entre prestataires.

  • Le Sol reconnaît vos pratiques responsables et éthiques
  • Le Sol fidélise les clients d’un réseau d’acteurs solidaires et respectueux
    de l’environnement
  • Le Sol favorise votre image par son caractère innovant
  • Le Sol affecte la monnaie à un circuit local en la retirant des marchés
    financiers
  • Le Sol est complémentaire à l’euro car il compense sa rareté dans
    l’économie réelle
  • Le Sol circule plus rapidement et donc favorise les échanges
  • Le Sol est convertible et garantit en euro
  • Le Sol désendette les acteurs économiques car ils ne payent plus d’intérêt
    pour sa création
  • Le Sol investi dans le réseau par une contribution à l’épargne solidaire
  • Le Sol est démocratique car ses acteurs gèrent collectivement son
    fonctionnement

Les questions pratiques

Le réseau Sol-violette est constitué de plus de 150 prestataires : entreprises (Scoop, SARL, SCIC, EURL), associations, professions libérales…

Tous ont en commun la volonté d’échanger des biens et des services dans le respect des humains et de la nature. Afin de garantir l’éthique des pratiques de chaque prestataire, nous leur demandons de remplir un dossier d’agrément, correspondant aux critères de la charte du Sol-Violette. Téléchargez ici le dossier d’agrément, à nous envoyer par courrier ou mail.

N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des difficultés à le remplir, nous sommes là pour vous accompagner. La demande est ensuite évaluée par le CLAS (Comité Local d’Agrément Sol, composé de membres de l’association).
L’agrément est valide pour un an ou deux ans, selon la note reçue. Il ne s’agit toutefois pas de sanctionner les mauvaises pratiques, mais d’encourager les initiatives qui prennent en compte l’humain et la nature.